Comment choisir son poêle à granulés

 

Fraîchement retraité de l’Éducation nationale, René va pouvoir se consacrer pleinement à sa passion de toujours, l'aéromodélisme. Il s'enthousiasme déjà à l'idée de partir parfois, le week-end, en compagnie de son épouse Claudine, en Belgique ou dans le Sud de la France, pour participer à des mes meetings qui réunissent des dizaines d'autres amateurs qui aiment rivaliser d'adresse en guidant leurs « petits » avions…

Mais René va aussi se convertir au jardinage. Pour le plaisir, certes, mais aussi par souci d'économie : il a pleinement conscience que le pouvoir d'achat n'est plus tout à fait le même quand on quitte la vie active.

C'est pour cette raison qu'il a convaincu Claudine de rénover le système de chauffage qui équipe leur maison des environs de Lambersart, au nord-ouest de Lille.

Le couple s'est longuement documenté et renseigné avant de choisir un poêle à granulés. René et Claudine ont pesé le pour et le contre, et ont finalement jugé que bien des critères répondaient à leurs attentes.

Pour finaliser leur décision, ils ont tenu compte d'abord de la puissance du poêle : « Rien ne sert d'opter pour un modèle surpuissant qui tournerait la plupart du temps au ralenti… Il aurait tendance à s'encrasser et à consommer davantage tout en demandant plus d'entretien », a résumé René une fois avoir entendu les explications des techniciens de la société Välfärd.

En revanche, le couple a compris que l'option programmation serait utile : « Voilà qui permet d'optimiser le fonctionnement du poêle tout en réduisant la consommation, puisque l'appareil se déclenche en fonction des habitudes horaires des occupants... »

Convection naturelle ou forcée ?

Idem pour la possibilité de déclencher le poêle à distance : « Ce sera pratique quand nous serons absents le week-end et souhaiterons retrouver au retour une maison qui ne sera pas transformée en glacière ! ».

Parmi les autres critères de choix, outre la capacité du réservoir, qui permet le cas échéant de ne pas avoir à recharger le poêle trop régulièrement, le couple a été attentif également au mode de convection : si elle est naturelle, la chaleur se diffuse par les sorties d'air du poêle, mais si elle est forcée, via un ou plusieurs ventilateurs, la chaleur se répartit plus vite et donc la température de la pièce est plus rapidement agréable. Un inconvénient toutefois : même s'ils fonctionnent par intermittence, les ventilateurs génèrent un bruit qui parois peut gêner les occupants du logement.

Enfin, René et Claudine ont appris qu'il était toujours préconisé de faire appel à des installateurs chevronnés, ce qui est évidemment le cas avec les techniciens de la société Välfärd : en effet, un bon poêle qui serait mal réglé par le professionnel risque de s'encrasser et d'avoir au final un rendement peu efficace.

A noter enfin que les fabricants de poêles et  l'Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie ont créé un label, la « Flamme verte », qui permet de mettre en valeur les appareils présentant un excellent rendement tout en produisant un taux réduit d'émissions de monoxyde de carbone (CO) et de particules fines.

Faites comme René et Claudine, n'hésitez pas à solliciter les équipes de Välfärd pour faire le bon choix.